Te rappelles-tu ? De notre première rencontre. Tu étais tout petit, tout mignon, avec une touffe blonde. Tes yeux étaient de couleurs bleus azurs, scintillants, pétillants et remplis d'innocence. Tu n'étais pas le plus fort de ton équipe mais tu n'étais pas faible non plus. Tu étais gaffeur, amusant, souriant mais tu avais pris mon coeur.
Depuis le premier regard que tu m'as apportée, je ne t'es pas oublié. Depuis le premier sourire que tu m'as abordée, mon coeur n'a pas arrêtée de battre. Depuis que tu m'as parlé, je pense à toi, jour et nuit, et fond à l'entente de ta voix résonner dans ma tête. Oui, j'étais amoureuse de toi depuis toute petite.
Tu voulais devenir Hokage, mais personne n'y croyait. Ils disaient que c'était des sotises, et tu t'es énervé. Tu voulais leur montrer, et tu voulais alors devenir meilleur. Jour et nuit, du matin au soir, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, tu t'entrainais, sans relâche, partout où tu allais : montagnes, lacs, mines, arbres, forêts, jardins, plaines, déserts, jungle, soleil, lune, jupiter. Et moi, je te suivais, et t'observais de loin.
Un jour, lors d'une mission, j'étais en danger. Encerclé, ils étaient 10 alors que j'étais toute seule. J'avais peur, je voulais
pleurer, mais j'ai pensée à toi, et mes yeux se sont transformés. C'est comme si tu étais dans mon corps, que nous avions fusionnés. Mais, j'étais beaucoup trop faible pour toi et, tu es venu. Tu m'as prise comme une princesse et a sauté d'arbre en arbre, comme si nous étions assis sur un cheval. Et puis, c'est à ce moment là que je me suis dit : c'est mon prince charmant.
Tu m'as regardée avec une lueur pleins d'espoirs, et tu t'es rapproché de mon visage. Prenant mes joues entre tes mains, tu te rapprochais et je me sentais attiré. Quand nos lèvres se scellèrent, les larmes tombèrent et coulèrent sur mes joues. Approfondissant le baiser, j'avais mis mes mains sur ta nuque, caressessant tes cheveux, ensuite, à contre-coeur, nous rompûmes le baiser en manque de souffle. Je baissa les yeux puis te fixa. Tu me regardais amoureusement, au début surpris, et afficha à un sourire, que je rendis. C'était nos 17 ans.
Par la suite, nous étions plus des chunins, mais des junins. Nous étions plus de simples personnes sortant ensemble, mais des fiancées. Oui, à 30 ans, nous allions nous mariés. Tu étais enfin devenu comme tu le voulais : un Hokage. Moi ? Une simple junnin, ninja offensive et médecin. Mais, je n'étais pas aussi simple que ça.
Tu avais sûrement dû remarquer que ma couleur de cheveux était anormal, que j'avais un pouvoir anormal. En effet, depuis des générations, notre famille transmettait quelque chose de puissant, un pouvoir puissant : le Kyuubi. Ce montre, ce bijuu, qui nous a fait du mal plus tard. Quand je tomba enceinte de Naruto. Nous avions donné notre vie à notre enfant, heureux, mais nous l'avions fait souffrir comme jamais : nous lui avions donnée ce pouvoir. Cependant, ce pouvoir, il sera à ma mémoire. Physique de son père, caractère de sa mère, pouvoir de sa mère, donné par son père mais, surtout, l'amour qu'il donnait se transmettait de nous deux, mort pour lui. Et nous reviendrons pour l'aider, pour le réconforter, quand le moment sera venu.
Minato. Je t'ai toujours aimée et je t'aimerais ... jusqu'à la fin.
Te rappelles-tu ? De notre première rencontre. Tu étais tout petit, tout mignon, avec une touffe blonde. Tes yeux étaient de couleurs bleus azurs, scintillants, pétillants et remplis d'innocence. Tu n'étais pas le plus fort de ton équipe mais tu n'étais pas faible non plus. Tu étais gaffeur, amusant, souriant mais tu avais pris mon coeur.Depuis le premier regard que tu m'as apportée, je ne t'es pas oublié. Depuis le premier sourire que tu m'as abordée, mon coeur n'a pas arrêtée de battre. Depuis que tu m'as parlé, je pense à toi, jour et nuit, et fond à l'entente de ta voix résonner dans ma tête. Oui, j'étais amoureuse de toi depuis toute petite.Tu voulais devenir Hokage, mais personne n'y croyait. Ils disaient que c'était des sotises, et tu t'es énervé. Tu voulais leur montrer, et tu voulais alors devenir meilleur. Jour et nuit, du matin au soir, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, tu t'entrainais, sans relâche, partout où tu allais : montagnes, lacs, mines, arbres, forêts, jardins, plaines, déserts, jungle, soleil, lune, jupiter. Et moi, je te suivais, et t'observais de loin.Un jour, lors d'une mission, j'étais en danger. Encerclé, ils étaient 10 alors que j'étais toute seule. J'avais peur, je voulaispleurer, mais j'ai pensée à toi, et mes yeux se sont transformés. C'est comme si tu étais dans mon corps, que nous avions fusionnés. Mais, j'étais beaucoup trop faible pour toi et, tu es venu. Tu m'as prise comme une princesse et a sauté d'arbre en arbre, comme si nous étions assis sur un cheval. Et puis, c'est à ce moment là que je me suis dit : c'est mon prince charmant.Tu m'as regardée avec une lueur pleins d'espoirs, et tu t'es rapproché de mon visage. Prenant mes joues entre tes mains, tu te rapprochais et je me sentais attiré. Quand nos lèvres se scellèrent, les larmes tombèrent et coulèrent sur mes joues. Approfondissant le baiser, j'avais mis mes mains sur ta nuque, caressessant tes cheveux, ensuite, à contre-coeur, nous rompûmes le baiser en manque de souffle. Je baissa les yeux puis te fixa. Tu me regardais amoureusement, au début surpris, et afficha à un sourire, que je rendis. C'était nos 17 ans.Par la suite, nous étions plus des chunins, mais des junins. Nous étions plus de simples personnes sortant ensemble, mais des fiancées. Oui, à 30 ans, nous allions nous mariés. Tu étais enfin devenu comme tu le voulais : un Hokage. Moi ? Une simple junnin, ninja offensive et médecin. Mais, je n'étais pas aussi simple que ça.Tu avais sûrement dû remarquer que ma couleur de cheveux était anormal, que j'avais un pouvoir anormal. En effet, depuis des générations, notre famille transmettait quelque chose de puissant, un pouvoir puissant : le Kyuubi. Ce montre, ce bijuu, qui nous a fait du mal plus tard. Quand je tomba enceinte de Naruto. Nous avions donné notre vie à notre enfant, heureux, mais nous l'avions fait souffrir comme jamais : nous lui avions donnée ce pouvoir. Cependant, ce pouvoir, il sera à ma mémoire. Physique de son père, caractère de sa mère, pouvoir de sa mère, donné par son père mais, surtout, l'amour qu'il donnait se transmettait de nous deux, mort pour lui. Et nous reviendrons pour l'aider, pour le réconforter, quand le moment sera venu.Minato. Je t'ai toujours aimée et je t'aimerais ... jusqu'à la fin.
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